revendications

j'ai pris connaissance de la réponse du président du CA et je suis heureux de voir que le recrutement repart, qu'il y ai un tout petit progres pour les logers mais je m'aperçois une fois de plus que les augmentations salariales vont aux adjudants et donc encore une fois aux courlis je sais que cela va surement pas plaire a tout le monde mais nous aussi sapeurs, caporaux, sergents on va subir la suppression des CDG a la X rousse et a la duch, nous aussi on part avec et on participe a la formation des SPV dans les centres mixtes (et de plus en plus en compagnie), nous aussi on part en intervention avec des chef d'agres SPV!!!! jusqu'au jour ou il y aura un accident, un probleme et ou on retrouvera bien le SPP pour lui signaler qu'il aurait du etre plus attentif car il s'agit de son boulot..... mais en attendant depuis combien de temps nos salaires restent les mêmes?????? malgres notre part de responsabilité!!! je sais aussi qu'il y a d'autre métiers ou l'on est moins bien payé que le notre mais avec autant de risques??

et un et deux et trois et ....... quatre pour les champions du monde de hand mais
toujours trois pour les syndicats pompiers du rhone alors qu'il n'y a eu aucune avancées ni negociation

l' unsa membre de l'union et reçue à ce titre par mercier a acquis ses lettres de noblesse
(les autres les avaient dejà. mais il y a un grand absent qui, ne sachant plus que faire
tourne en rond et fait du sur place; pourquoi? en cette periode electorale propice à la negociation. pour etre numero1? mais au fait a koi ça sert?

Chez les sapeurs-pompiers professionnels, qui dit grève, dit mise en place d’un service minimum. Hier, un faux pas de la direction a bien failli mettre en péril ce système, révélant aussi le fossé de plus en plus grand qui se creuse entre une partie des soldats du feu et leur hiérarchie.

Selon les chiffres de l‘Union syndicale SUD-SNPP-Unsa, environ 80 % des effectifs « opérationnels » dans le Rhône se sont déclarés, hier matin, en grève pour la tranche horaire 16-18 heures. La CGT ne s’est pas jointe au mouvement.

En théorie, pour que les secours auprès de la population puissent être malgré tout assurés, la direction aurait dû, comme elle le fait habituellement, procéder à des réquisitions de personnel ou ordre de maintien, par arrêté préfectoral. Et ce, avant même le jour J. Hier, rien de tout cela. « Il a fait une erreur. Il a pris le risque que les pompiers ne viennent pas à leur garde. Des personnes n’auraient pas pu être secourues », lance Pierre Ruelle, secrétaire général d’Unsa Sdis 69. « Il », c’est le colonel Serge Delaigue, le directeur du Secours départemental d’incendie et de secours du Rhône à qui incombait cette responsabilité. Contacté, celui-ci explique qu’il a « mis en place à midi une procédure un peu plus simple d’ordre de maintien. Ce matin [hier matin, NDLR], il y avait tout le monde, le résultat est équivalent ». En fin de journée, la direction annonçait que 34 sapeurs-pompiers avaient pu exercer leur droit de grève, 149 avaient été « maintenus » ou réquisitionnés et 287 s’étaient déclarés non-grévistes. Des chiffres qui ne prennent pas seulement en compte les pompiers sur le terrain mais aussi « les officiers, les professionnels en formation, de la logistique ».

Au-delà de ce qui pourrait ressembler à une anecdote, cet épisode semble cristalliser les relations déjà tendues entre une partie des soldats du feu et la direction. Un « conflit » sur fond de revendications sociales. Très tôt hier matin, une réunion entre l’Union syndicale SUD-SNPP-Unsa et le président du conseil d’administration du Sdis, Michel Mercier, s’est soldée par un statu quo. Parmi les revendications de l’Union : l’augmentation des effectifs journaliers opérationnels, la baisse du temps de travail du personnel logé, une revalorisation des primes.

« Il ne nous paraît pas possible d’aller plus loin », estime de son côté le colonel Serge Delaigue, en écho aux cinq propositions faites en janvier par la direction et acceptées par la CGT (syndicat majoritaire) et la CGC. Parmi elles, le recrutement annuel de 18 sapeurs-pompiers pendant trois ans, l’allégement de garde pour les personnes logées dans les casernes en fonction de leur ancienneté.

Les points de vue n’ont pas fini de s’affronter et le « malaise » de perdurer.

Info SUD : Pour faire suite à l'action du 2 février dernier qui a permis de démontrer au DDSIS et au Pdt Mercier que les pompiers sont toujours capables de se mobiliser massivement, nous mettrons fin au mouvement de grève le 3 février à partir de 8 heures. Nous verifions la validité légale des ordres de maintien distribués hier...Toutes nos revendications sont légitimes et une nouvelle rencontre est prévue prochainement avec l'union syndicale SUD-SNSPP-UNSA pour vous proposer des actions que nous allons mener dans les semaines à venir. Nous comptons sur tous les SP syndiqués ou non.
Restons mobilisés
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Voir notre site : http://sud.sdis69.free.fr

sdis 69 = Dictature ? , merci a sud ,unsa ,et snspp la guerre se gagne jamais en une bataille !!!

Merci à l'union syndicale qui continue le combat et qui ne se satisfait pas des belles paroles de notre direction !!

tunisie, egypte, bientot sdis69 La revolution contre l injustic
e est en marche . et pour la cgt vs avez perdu de votre credibilité!!!